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Allez, un seul…


CHO… :

Cette seule syllabe réchauffe cœur et papilles, l’idée d’un met qui réveille chacun de nos sens, un son qui attise toutes les convoitises.

Peut-être deux ?

…CO… !!!

L’enthousiasmant croquant d’un morceau interdit, l’éclat sous la dent d’une noisette ou d’une amande, l’étonnante trouvaille d’une pépite insoupçonnée, plus délicieuse encore, à cet instant précis, que la découverte du plus précieux des trésors,

Mais c’est le dernier promis !



…LAT….

Ha, encore une cuillère de ce liquide coulant dans la gorge comme le plus réconfortant des breuvages, qu’on laisse s’évanouir sous la langue pour en éprouver sa pleine puissance. Il est tendresse, onctuosité, union de l’amertume et de la douceur dans une explosion de saveurs.

Après la création de parfums, la dégustation de vin, c’est tout cela que la Jeune Chambre Economique de Pays Niçois nous a fait découvrir vendredi soir en compagnie de Monsieur AUER. Ce dernier nous a montré avec quelle adresse plonger la ganache dans le bain de chocolat, la décorer de paillettes dorées, pour le savourer plus tard.

Du plus loin de notre enfance, le chocolat fait partie de nos souvenirs les plus croustillants même au moments les plus moroses : la cuillère raclant le plat des dernières gouttes de la préparation d’un gâteau, l’inoubliable couteau oublié sur le pot de pâte à tartiner, les rochers des soirées barbantes de l’ambassadeur, l’engloutissement d’une boite entière un soir de déprime…

Alors en attendant la prochaine surprise qu’on vous réserve encore, n’oubliez pas, au mépris du danger, de reculer l’impossible…



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Aline DOSDAT

Vice-Présidente Développement

Le côté pur de la force

Passagers de L’ENTERPRISE, embarcation qui n’a rien à envier au Faucon Millenium, nous nous confrontons maintenant de plus en plus souvent aux rocambolesques aventures des personnages de la Guerre des Etoiles.

S’agissant, en effet, d’œuvrer pour la cité, apprentis comme Jedis avertis, nous nous cyberpropulsons dans tous les points stratégiques du pays niçois pour contribuer au mieux à la réalisation des stratégies impérieuses de nos maîtres-penseurs.

Anachronisme ? Non ! Aucune rébellion n’est à craindre au sein de notre jeune chambre ? Le caractère belliqueux lui fait cruellement défaut ? Soit, nul n’est besoin de guerre pour trouver des batailles, surtout contre l’inactivité !

Armés de notre meilleure volonté comme sabre laser, citoyens actifs de notre République Galactique, nous appliquons ainsi pacifiquement mais non sans vaillance les différentes tâches qui nous sont assignées par nos Hauts Chevaliers, qui dirigent leurs commissions d’une poigne d’acier mais le cœur léger. Tous nous agissons pour mener à bon port les actions décidées à l’aube de 2012, affrontant les obstacles comme autant de commanditaires de l’Empire Sith. Et s’il faut détruire l’Etoile Noire, nous le ferons !

Mais sans les enseignements d’Obi-Wan Kenobi ou de Maître Yoda, il n’existe pas de véritable Jedi. L’action n’est là que pour parachever la formation. Et inversement.

Deuxième grand rendez-vous régional de formation de l’année, ce week-end, une escale nous était proposée par la Jeune Chambre Economique de Salon de Provence pour un week-end entier destiné  à nous former. Et comme tout bon événement Jeune Chambre, nos voisins tatooiniens avaient tout mis en œuvre pour la réussite de ces deux jours hauts en couleur.

La maîtrise des différents savoir-faire fondamentaux, de la lévitation au maniement du sabre, de la conduite d’opérations commandos au pilotage de destroyers stellaires, de l’apprentissage du langage Ewok à la direction de droïdes, est, rappelons-le, primordiale dans notre parcours jeune chambre.

Pour nous aider dans cette quête, nous avons notre grand Sage Formation, Hilaire Santiago, toujours prêt à nous en dégoter de nouvelles et à suivre l’ensemble de nos besoins dans ce domaine. N’hésitez donc pas à lui soumettre vos idées et vos souhaits pour que notre paisible communauté s’arme encore davantage pour repousser les éventuels Jabba.

Bonne semaine, et d’ici à la prochaine, n’oubliez pas, au mépris du danger, de reculer l’impossible…


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Aline DOSDAT
Vice-président Développement

Vacances et gourmandise

Cette première semaine d’avril a été l’occasion pour l’équipe des DDLs de prendre des congés, s’ils étaient mérités, je l’ignore, mais gourmands certainement !

Nous avons célébré Pâques et chacun a pu en profiter pour rendre hommage, selon la tolérance de son ventre, à tous les chocolatiers de France et de Navarre qui nous ont abreuvés de ce délice brun tant apprécié des petits et des grands.

Rendez-vous la semaine prochaine donc, le temps que nous digérions nos excès… et soyons disposés à visiter la Maison Auer à l’occasion de notre prochain évènement « La JCE du Pays Niçois fait son chocolat » !

Si pour certains le manque de foi est l’un des maux de notre siècle, la défaillance du foie l’est parfois pour d’autres et notamment pour moi.


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Maïe Pechin

Secrétaire Général

Saut de l’ange dans la grande bleue

Loin sont les jours de grisaille et les souhaits de partir arpenter les monts enneigés se sont définitivement envolés avec l’arrivée officielle du printemps.

Notre vaisseau Enterprise vogue toujours, à sa vitesse de croisière, vers des jours plus longs, plus doux, plus chatoyants… Mais ce n’est plus dans l’espace que nous vous emportons aujourd’hui ! Si notre embarcation peut frayer son chemin entre les astéroïdes et filer à la vitesse de la lumière, elle peut tout autant s’enfoncer dans les profondeurs abyssales des mondes engloutis et trouver refuge entre deux massifs de coraux.


En ce début du mois d’avril, de nouveaux projets s’offrent à nous et le premier est d’une envergure colossale ! Pour cette opportunité exceptionnelle, il m’appartient, avant toute chose, de mettre en exergue le sens de l’organisation exceptionnel de Mademoiselle Maïe PECHIN et la discrétion toute personnelle dont elle a pu faire preuve pour que cette grande opportunité soit prête à temps pour ce premier édito mensuel.

J’ai donc l’immense honneur de vous annoncer, dans le cadre de la lutte contre la pollution des fonds marins, et afin d’aider les collectivités à préparer notre mer à l’arrivée des touristes, le lancement de l’Opération P.O.I.S.S.O.N. : Protection des Organismes Invertébrés et des Spécimens Sous-marins Ou Nautiques.


Cette opération, en concordat exceptionnel avec la SPA et l’Association COUSTEAU, vous donne la possibilité d’aider ces deux associations à préserver les espèces protégées qui peuplent nos côtes.

En outre, la participation est d’une simplicité effarante, puisqu’il suffit d’envoyer vos réponses aux trois questions suivantes avant le 4 avril prochain* :

     – Quel compositeur a composé la musique de la bande originale du film « Le Grand Bleu » ?
     – Où se déroule l’intrigue du film « Les Dents De La Mer » ?
     – Dans quelle ville a été écrit le livre « Vingt Mille Lieues Sous Les Mers » ?


Le participant qui répondra le plus rapidement à l’adresse ddl@jce-paysnicois.org, pourra gagner un aquarium de 400 litres, le second en terme de vitesse, un cours de plongée, le 3ème le manuel de l’apnée pour les nuls volume 2.


N’hésitez surtout pas à nous adresser vos réponses car pour chaque mail envoyé, les deux associations précitées s’engagent à verser 10 € pour le nettoyage de nos côtes.

Je ne peux qu’en appeler à vos souvenirs et à vos recherches wikipédiesques pour mener à bien un projet qui, tant à Maïe qu’à moi-même, tient énormément à cœur. Au-delà de notre carambar hebdomadaire, l’enjeu, aujourd’hui est de taille. N’oublions pas que bien avant The Artist, Cousteau avait déjà obtenu un oscar pour un film muet ! Un film qui plaidait, déjà, pour la protection des abîmes aquatiques.

Allez et en attendant, n’oubliez pas, au mépris du danger, de reculer l’impossible…
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Aline DOSDAT
Vice-président Développement


*Jeu sans obligation d’achat, ouvert à toute personne majeure résidant en France ou à Monaco. Règlement intégral disponible sur simple demande.

Neuf lettres…

Le respect de la liberté d’autrui, de ses opinions, de sa façon de vivre peut se résumer en un seul mot. Outre sa définition officielle, l’élasticité d’un tel mot peut osciller de la largesse d’esprit la plus vaste, confinant parfois à la naïveté, à l’étroitesse infime d’une mansuétude réduite à une peau de chagrin.

La définition de ce terme pourra nous sembler difficile à assumer dans l’énervement et si simple à accueillir dans l’euphorie.

On utilise le même terme lorsque l’on souhaite justifier l’admission d’un écart par rapport à une norme donnée. A nouveau, cette indulgence variera selon l’écart concerné. De quasi nulle face à l’ignominie, elle ne pourra que se révéler infinie lorsque les conséquences seront minimes.

En cette semaine lourde en émotions, dans le souvenir sinistre des actes ignobles perpétrés dans la région toulousaine, il convient de se souvenir de ce simple terme. Ce que nous ne pouvons naturellement accepter provient aussi de ce que d’autres méprisent au détriment de toute raison. La haine d’autrui se révèle aussi dans l’incapacité de certains à comprendre ce principe.
La tolérance.

Quelques syllabes pour condenser la justesse et l’acceptation de la différence.

D’un mot, l’épanouissement vers autrui comme son refus le plus ferme.

Pour cette semaine, au mépris de l’ignorance, tentons de reculer l’intransigeance.

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Aline DOSDAT
Vice-Président Développement 

Cette famille qui sans cesse se régénère

C’était un soir de grâce comme il y en a si peu, l’un de ces moments indicibles où la perfection transcende la réalité, où l’utopie devient possible. Le temps semblait comme suspendu aux lèvres des orateurs. 
De quoi parlé-je donc ? Si vous vous posez la question, c’est que vous n’y étiez pas, sinon, indéniablement,  vous sauriez.

« The place to be » cette semaine, c’était à la villa Eilenroc et plus précisément le lundi 5 mars (la veille ou le lendemain, ça ne servait à rien). Plus de 150 privilégiés, pour ne pas dire bénis des dieux, étaient rassemblés autour de Jean LEONETTI, Député Maire d’Antibes Juan les Pins et Ministre des Affaires Européennes et du Sénateur Pierre LAFITTE pour la passation de pouvoir de la Jeune Chambre Economique d’Antibes Sophia Antipolis, entre Inès GANMAVO, Présidente sortante, et Bruno GUICHARD, Président 2012.
La prestation de serment d’un président, c’est le passage de la flamme, du feu sacré, du secret du Saint Graal. La splendeur de l’instant nous laisse sans voix, plonge nos esprits dans un idéal onirique. Etre Président et mourir, être pénétré, enfin, de ces fonctions suprêmes et ne plus rien avoir à attendre de la vie. Le sang en deviendrait-il bleu logo JCI ?

La passation c’est le début de cette vie en Loft Story où chaque pas, chaque geste est observé et commenté. C’est mettre le pied dans le monde des puissants et des responsables. L’engagement d’avoir un discours lénifiant toujours sous le coude, un sourire Colgate toujours en bouche afin d’éblouir la jeune journaliste de passage. Plus le droit à la flemme, à la médiocrité encore tolérée chez le membre, terminé le pyjama pilou du dimanche pluvieux, adieu les soirées Master Chef, interdits les dérapages à la Loana : bosser et briller, tel est ton destin… Quelle vie de rêve !

Mais alors on en revient toujours à ce secret, quelle est donc cette puissance qui nourrit l’ambition des jeunes Présidents en devenir ? Quel cheminement cognitif conduit de l’observation au serment suprême ? L’âme d’ Henry Giessenbiersemble toujours aussi vivace, hantant les jaycees au travers des générations et faisant des émules au-delà des frontières.

Revenons-en au véritable sujet, celui de la transmission. Revenons à la genèse de ce que Jean Leonetti rappelait lors de son discours, « ce qui différencie l’Homme de l’animal c’est la transmission de l’apprentissage ». C’est donc là que toute la magie opère. La formidable roue de la transmission, notre belle famille produit chaque année des régiments de patriarches qui abreuvent le mouvement de leurs directives et de leur sagesse. Les dynasties JCI mettent au monde des armées de généraux emplis d’une énergie sans limite pour diriger nos fructueuses actions.

Et si notre mouvement est aussi prolifique, c’est sans aucun doute parce que l’enthousiasme et la passion sont deux virus beaucoup plus contagieux que la grippe, n’en déplaise à ceux d’entre vous qui ont succombé devant elle les semaines passées. Continuons donc sans vergogne à répandre cette épidémie non délétère, hâtons-nous avant la fin de l’hiver ! Semons les graines de nouvelles pousses JCI, et attendons activement le printemps, que ces jeunes bourgeons verdissent et grandissent sous le soleil radieux de cette Côte d’Azur qui nous est si chère.

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Mickaël HAGEMAN                          et       Maïe PECHIN
Vice-Président Communication                    Secrétaire Général
de la JCE d’Antibes Sophia Antipolis

Le symbolisme du mimosa

Le début du mois de mars, mois qui rime avec le début du printemps, enfin on l’espère, le carnaval (à savoir le bonheur d’être dans l’incapacité de se déplacer dans Nice sans sentir des confettis se glisser dans notre pull) et… Le passage quasi concomitant par la fête des Grands-mères et la Journée internationale des droits de la Femme.

Deux journées aux antipodes l’une de l’autre avec tout ce que cela comporte de symbolisme, puisque la première reste une fête inventée par une marque de café qui ne connaît, elle, pas George Clooney, et de l’autre, une journée visant à nous rappeler le combat des femmes au début du XXème siècle pour tenter d’obtenir l’égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

Faut-il une journée pour nous rappeler nos aïeules et leur montrer notre affection ? A mon humble sens, non et si l’une ou l’autre de mes grands-mères était vivante, je ne suis donc pas certaine que j’aurais fait un quelconque effort pour cette fête incongrue.

Mais j’y aurais pensé, tout de même, car on a toujours une grand-mère de derrière les fagots qui a su montrer son courage à plus ou moins grande échelle et que les miennes n’y ont pas manqué. J’aurais eu une pensée, oui, pour celle qui a accouché dans un Paris au plus fort de la libération et une autre pour celle qui, au milieu des années 50, s’est retrouvée veuve et a élevée ses 4 filles alors que, médecin, elle travaillait déjà beaucoup.

Quant à l’hommage du 8 mars aux droits de la femme, non pas que le courage, la ténacité et la lutte pour l’amélioration de la condition féminine ne doivent pas être salués, mais au même titre que la journée de la gentillesse, il m’est difficile d’en cerner l’efficacité.

En revanche, il ne s’agit pas non plus de tomber dans les stéréotypes inverses et s’il faut une journée pour rappeler l’évidence, soit.

Qui songe à critiquer le 1er mai ?

Pour ne citer qu’elles, le combat de Rosa Louise Parks a débuté lorsqu’elle a refusé de céder sa place dans un bus. La lutte des droits universels s’est alors entremêlée au symbolisme d’une telle affirmation – une place dans un bus – et aux risques inouïs qu’elle a pris à cette seule minute là.

Elle a dit plus tard « Jusqu’à présent, je crois que nous sommes sur la planète Terre pour vivre, nous épanouir et faire notre possible pour rendre ce monde meilleur afin que tout le monde puisse jouir de la liberté. »

Sans toujours aller jusqu’à tout sacrifier pour une idéologie, reste que le courage dont a dû faire preuve Edith Bouvier lors de son séjour en Syrie n’était probablement pas mû par la volonté de démontrer quoi que ce soit mais bien de mener à bien son travail. A-t-elle jamais pensé aux conséquences ? Sa force ne réside-t-elle pas dans l’oubli des intérêts particuliers pour préserver le droit à l’information. ?

A des années l’une de l’autre, à des kilomètres et pour des raisons drastiquement différentes, ce que ces deux femmes en commun, c’est le caractère universel de leur démarche.

Et si la maternité, comme la grand-maternité, c’était, au-delà d’un instinct ou de recettes de cuisine, la transmission de ces valeurs-là ?

La force de notre association réside, elle, dans la concrétisation d’actions et dans la transmission d’un savoir, qualités retrouvées dans toutes ces femmes qui ont tenté et réussi à changer les choses ou tout du moins ont contribué à les faire bouger.

Sans aller jusqu’à affirmer que tous, nous leur ressemblons, peut-être faudrait-il, en ces jours d’hommage, au moins y songer.

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Aline DOSDAT
Vice-Président Développement

La couleur pourpre d’un vendredi soir

Les membres avertis, les stagiaires motivés et observateurs tous frais de la Jeune Chambre du Pays Niçois se sont hissés sur les hauteurs niçoises, à la fraicheur de la nuit de vendredi, afin de recevoir une belle leçon viticole de Monsieur et Madame PACIOSELLI, propriétaires du domaine de Saint Jean, vignoble AOC des vins de Bellet.

Alors oui, ce fut une excellente soirée : la visite plus qu’intéressante et le vin ne manquait pas du goût subtile et léger d’un raisin mûri sous le soleil de la Côte d’Azur. L’ambiance de l’apéritif qui a suivi, ce qui ne gâchait rien, était au beau fixe et chacun a pu harmoniser sa bonne humeur à celle de son voisin.

L’organisation de ce premier rendez-vous convivialité de cette année était donc plus que réussie et je ne peux que remercier, en premier lieu nos hôtes de leur accueil chaleureux comme de leurs explications instructives et en second lieu, Julien TABORE, notre Vice-Président Convivialité-Incentive, de nous avoir concocté une si belle soirée.

Je ne peux m’en contenter car dans cette hypothèse, j’omettrais toute une partie de la soirée qui s’est concentrée, à mes yeux, dans quelques mots simples de Monsieur PACIOSELLI. Celui-ci nous a décrit la fougue dont  lui et son épouse ont fait preuve pour créer leur entreprise viticole dans une région à laquelle ils n’appartenaient pas tout à fait et dans une branche d’activité qui leur était, à l’origine, inconnue.

En faut-il de l’espoir fou pour s’entêter face au scepticisme justifié des locaux et tout quitter pour s’adonner à la culture d’une vigne à créer toute entière ? De quelle patience doit-on faire preuve pour passer trois ans à suivre les formations adéquates à l’acquisition d’un savoir-faire technique qui permettra de franchir les barrières des refus administratifs ? Sans oublier la persévérance, une fois ce travail accompli et la confiance acquise, pour soigner, traiter, surveiller, récolter et finalement créer.

Chacun des mots de Monsieur PACIOSELLI fait partie, et sans probablement qu’il s’en soit rendu compte, de chacune des valeurs que notre association souhaite regrouper et promouvoir.

Au delà de l’ambiance joyeuse de se retrouver, des discours animés, de l’ivresse débutante de cette dégustation, ce que nous avons bu c’est le résultat de tout cela.

Ce que nous avons bu, c’est le nectar de leur passion.


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Aline DOSDAT
Vice-Président Développement