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Le symbolisme du mimosa

Le début du mois de mars, mois qui rime avec le début du printemps, enfin on l’espère, le carnaval (à savoir le bonheur d’être dans l’incapacité de se déplacer dans Nice sans sentir des confettis se glisser dans notre pull) et… Le passage quasi concomitant par la fête des Grands-mères et la Journée internationale des droits de la Femme.

Deux journées aux antipodes l’une de l’autre avec tout ce que cela comporte de symbolisme, puisque la première reste une fête inventée par une marque de café qui ne connaît, elle, pas George Clooney, et de l’autre, une journée visant à nous rappeler le combat des femmes au début du XXème siècle pour tenter d’obtenir l’égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

Faut-il une journée pour nous rappeler nos aïeules et leur montrer notre affection ? A mon humble sens, non et si l’une ou l’autre de mes grands-mères était vivante, je ne suis donc pas certaine que j’aurais fait un quelconque effort pour cette fête incongrue.

Mais j’y aurais pensé, tout de même, car on a toujours une grand-mère de derrière les fagots qui a su montrer son courage à plus ou moins grande échelle et que les miennes n’y ont pas manqué. J’aurais eu une pensée, oui, pour celle qui a accouché dans un Paris au plus fort de la libération et une autre pour celle qui, au milieu des années 50, s’est retrouvée veuve et a élevée ses 4 filles alors que, médecin, elle travaillait déjà beaucoup.

Quant à l’hommage du 8 mars aux droits de la femme, non pas que le courage, la ténacité et la lutte pour l’amélioration de la condition féminine ne doivent pas être salués, mais au même titre que la journée de la gentillesse, il m’est difficile d’en cerner l’efficacité.

En revanche, il ne s’agit pas non plus de tomber dans les stéréotypes inverses et s’il faut une journée pour rappeler l’évidence, soit.

Qui songe à critiquer le 1er mai ?

Pour ne citer qu’elles, le combat de Rosa Louise Parks a débuté lorsqu’elle a refusé de céder sa place dans un bus. La lutte des droits universels s’est alors entremêlée au symbolisme d’une telle affirmation – une place dans un bus – et aux risques inouïs qu’elle a pris à cette seule minute là.

Elle a dit plus tard « Jusqu’à présent, je crois que nous sommes sur la planète Terre pour vivre, nous épanouir et faire notre possible pour rendre ce monde meilleur afin que tout le monde puisse jouir de la liberté. »

Sans toujours aller jusqu’à tout sacrifier pour une idéologie, reste que le courage dont a dû faire preuve Edith Bouvier lors de son séjour en Syrie n’était probablement pas mû par la volonté de démontrer quoi que ce soit mais bien de mener à bien son travail. A-t-elle jamais pensé aux conséquences ? Sa force ne réside-t-elle pas dans l’oubli des intérêts particuliers pour préserver le droit à l’information. ?

A des années l’une de l’autre, à des kilomètres et pour des raisons drastiquement différentes, ce que ces deux femmes en commun, c’est le caractère universel de leur démarche.

Et si la maternité, comme la grand-maternité, c’était, au-delà d’un instinct ou de recettes de cuisine, la transmission de ces valeurs-là ?

La force de notre association réside, elle, dans la concrétisation d’actions et dans la transmission d’un savoir, qualités retrouvées dans toutes ces femmes qui ont tenté et réussi à changer les choses ou tout du moins ont contribué à les faire bouger.

Sans aller jusqu’à affirmer que tous, nous leur ressemblons, peut-être faudrait-il, en ces jours d’hommage, au moins y songer.

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Aline DOSDAT
Vice-Président Développement

La couleur pourpre d’un vendredi soir

Les membres avertis, les stagiaires motivés et observateurs tous frais de la Jeune Chambre du Pays Niçois se sont hissés sur les hauteurs niçoises, à la fraicheur de la nuit de vendredi, afin de recevoir une belle leçon viticole de Monsieur et Madame PACIOSELLI, propriétaires du domaine de Saint Jean, vignoble AOC des vins de Bellet.

Alors oui, ce fut une excellente soirée : la visite plus qu’intéressante et le vin ne manquait pas du goût subtile et léger d’un raisin mûri sous le soleil de la Côte d’Azur. L’ambiance de l’apéritif qui a suivi, ce qui ne gâchait rien, était au beau fixe et chacun a pu harmoniser sa bonne humeur à celle de son voisin.

L’organisation de ce premier rendez-vous convivialité de cette année était donc plus que réussie et je ne peux que remercier, en premier lieu nos hôtes de leur accueil chaleureux comme de leurs explications instructives et en second lieu, Julien TABORE, notre Vice-Président Convivialité-Incentive, de nous avoir concocté une si belle soirée.

Je ne peux m’en contenter car dans cette hypothèse, j’omettrais toute une partie de la soirée qui s’est concentrée, à mes yeux, dans quelques mots simples de Monsieur PACIOSELLI. Celui-ci nous a décrit la fougue dont  lui et son épouse ont fait preuve pour créer leur entreprise viticole dans une région à laquelle ils n’appartenaient pas tout à fait et dans une branche d’activité qui leur était, à l’origine, inconnue.

En faut-il de l’espoir fou pour s’entêter face au scepticisme justifié des locaux et tout quitter pour s’adonner à la culture d’une vigne à créer toute entière ? De quelle patience doit-on faire preuve pour passer trois ans à suivre les formations adéquates à l’acquisition d’un savoir-faire technique qui permettra de franchir les barrières des refus administratifs ? Sans oublier la persévérance, une fois ce travail accompli et la confiance acquise, pour soigner, traiter, surveiller, récolter et finalement créer.

Chacun des mots de Monsieur PACIOSELLI fait partie, et sans probablement qu’il s’en soit rendu compte, de chacune des valeurs que notre association souhaite regrouper et promouvoir.

Au delà de l’ambiance joyeuse de se retrouver, des discours animés, de l’ivresse débutante de cette dégustation, ce que nous avons bu c’est le résultat de tout cela.

Ce que nous avons bu, c’est le nectar de leur passion.


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Aline DOSDAT
Vice-Président Développement

Be Better. Be Mine.

Que vous l’ayez appréhendé, esseulés et maugréant devant tous les couples croisant votre chemin, que vous vous soyez frottés les mains de cette aubaine si lucrative pour votre activité, que vous l’ayez fêté avec ferveur ou, enfin, que vous l’ayez volontairement considéré comme un jour ordinaire, il ne vous a certainement pas échappé que le 14 février, c’était la semaine passée.

Mais quelle peut bien être l’analogie entre les actions de la Jeune Chambre Economique et la célébration de la Saint Valentin, me direz-vous ?

N’en déplaise aux moins puritains d’entre vous, je ne suis pas ici pour vous compter quelque anecdote de débauche orgiaque, mais bel et bien pour vous rappeler le lien (chaste, il va s’en dire) qui nous unit, nous, Jaycees engagés.

Tout comme il est bien fâcheux d’attendre langoureusement pendant un an, ce jour béni, quoique souvent froid et pluvieux, ce jour béni d’hiver disais-je, où l’on célèbre avec volupté son amour partagé (de préférence) par un traditionnel tête-à-tête et le non moins délicat cérémonial d’échange de cadeaux, il serait fort dommage, je trouve, de se contenter d’agir un seul et unique jour par an au service de la Cité… D’autant plus si vous êtes célibataires : l’absence d’être cher à câliner vous laisse tout loisir de vous adonner à des occupations hautement plus constructives que de compter les poils de nez de votre aimé, même si nous n’en doutons pas ce sont les plus beaux et les plus soyeux que vous n’ayez jamais vus.

En fait, non, même si vous nagez dans le bonheur d’une idylle harmonieuse, rien ne vous empêche d’être engagés dans le mouvement. Après tout il ne s’agit pas tant d’empiéter sur notre temps d’oisiveté (enfin un peu quand même) que de chercher à transformer chaque geste pour qu’il contribue à améliorer le monde qui nous entoure.

Cela me rappelle d’ailleurs que, si l’un ou l’une d’entre vous est en possession des coordonnées d’un certain Brad Pitt, sachez que je suis désireuse de le rencontrer pour une interview sur l’utilisation de sa notoriété au service de son engagement humanitaire, bien évidemment.

Vous l’aurez certainement compris, je ne tenais à rien de plus qu’à vous rappeler que les grands projets et les grandes actions, commencent tous par de petits efforts, de petits gestes mais quotidiens ; c’est leur fréquence et leur diversité qui créent les changements profonds et durables.

C’est à notre portée à tous « d’impacter le monde ».
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Maïe Pechin

Secrétaire Général

Un espion chez les présidents

C’est autour de Laurence De Boulois, Présidente nationale de la Jeune Chambre Economique Française, d’Emilie Haymae, Présidente de la Jeune Chambre Economique Locale de Limoges, et d’Emmanuel Hervy, Directeur du Comité d’Organisation de la 25ème Conférence des Présidents, que les 140 présidents des Jeunes Chambres Economiques Locales françaises se sont réunis les 3 et 4 février derniers pour deux jours d’ateliers intenses les formant et les préparant à une année de présidence réussie.


En effet, lourde est la tâche qui leur incombe. Rappelons que les responsabilités d’un président JCI sont grandes, il est le garant de l’éthique du mouvement et se doit d’être le moteur de sa JCEL. Il en est le représentant officiel et c’est par la qualité de ses interventions, qui devront en toutes circonstances approcher l’excellence, qu’il diffusera une image positive et dynamique de notre mouvement.


Cette conférence a été aussi l’occasion pour les présidents de tisser des liens avec leurs homologues venus de tout l’hexagone, de découvrir, lors de l’atelier « Adopter, c’est gagner » les outils en termes de communication, d’organisation, d’accompagnement et de développement qui ont permis le succès d’un grand nombre de JCELs.

La première soirée, bien méritée après une journée si studieuse, les a conduit sous le thème des « Nouvelles technologies » au centre ESTER, la Technopole de Limoges.


Cet évènement a également été l’occasion de faire connaître à tous, Marvin Cuschieri, Vice-Président International JCI assigné à l’Europe, qui a présenté les différents projets de la Jeune Chambre Internationale qui verront le jour en 2012.


La conférence s’est achevée par une Assemblée Générale, ponctuée par une intervention sur l’importance du travail en équipe d’Isabelle Gille (Présidente 2001-2002 de la JCEF).


Bien évidemment, la tradition JCI a été respectée puisqu’avant de repartir dans leurs JCELs respectives, motivés comme jamais, les congressistes ont pu se divertir lors de la somptueuse soirée de gala « Luxe et savoir-faire » au Pôle Lanaud dans la périphérie de Limoges.

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Maxim TOESCA

VP Partenariat (envoyé spécial de Pays Niçois à la Conférence des Présidents)

Où Miss France passe un sale quart d’heure

A l’heure où les agences de notation régissent l’humeur des grands de ce monde, à l’heure où le mot « crise » est sur toutes les lèvres, Bertolt DAEMS, Président JCI 2012, ne s’interroge pas vraiment sur la façon d’obtenir le triple A. Ce qui l’inquiète, c’est d’accomplir le principe fondateur de la Jeune Chambre, ce pourquoi elle a été initialement créée : Apporter la paix.

Je vois déjà le sourcil du lecteur se froncer ou encore apparaître un sourire moqueur.

Modifier l’économie mondiale semble déjà improbable alors des vœux de paix… Cela prête à rire tant l’enjeu est colossal. Tant seul, ou regroupés dans nos Jeunes Chambres locales, nous imaginons difficilement avoir une quelconque influence et atteindre cet idéal.

C’est un fait, souhaiter la paix dans le monde relève d’un discours de Miss France. Elle semble la seule, munie de son sourire désarmant, capable d’envisager y parvenir, ne serait-ce qu’une seconde.

Et pourtant, c’est bien ce à quoi notre Président Mondial nous engage à réfléchir pour cette année. Que dis-je réfléchir, il nous engage à y travailler !

Quelle angoisse, avons-nous pensé à voter une commission « paix dans le monde » en début d’année ?

Les Présidents de nos différentes Jeunes Chambres Locales, je les vois également, commencent à s’agiter, appeler leurs Secrétaires Généraux, leurs Vice-Présidents Programmes, songent à convoquer une AGE et sommer leurs membres de partir à l’assaut pour l’application des directives du Président mondial.

La JCE Pays Niçois ne serait pas plus avancée, aucune action en ce sens n’a, apparemment, été soutenue en début d’année.

Alors quoi, on attend l’an prochain ?

Pas de panique, n’oublions pas que notre Présidente Cécile Hallier nous a, dès le mois de janvier, invités à « embarquer » avec elle. Nous sommes fins prêts, mêmes si nos oreilles n’ont pas encore poussé, pour tenter de trouver cette marche à suivre.

Et si aucune commission en ce sens n’a été proposée, rien ne nous empêche, dans chacune de celles qui ont été mises en place, d’instaurer une réflexion sur la volonté du Président Mondial.

Les directives en amont tendent à voir abolir les frontières et atténuer l’idée que nous avons de nos différences.

Je ne sais qui m’a fait remarquer cette semaine que la JCE Pays Niçois ressemblait à l’auberge espagnole. Quoi de plus vrai et pas uniquement parce que plusieurs nationalités y sont représentées ! Au delà de cet état de fait, ce sont plus nos personnalités qui peuvent être radicalement différentes : puissions-nous puiser dans cette particularité davantage de tolérance et de projets différents.

Nous avons les outils de réflexion, à nous maintenant de les utiliser correctement et de les embarquer dans notre seul moyen de transport valable : notre volonté d’agir, nos recrues, anciennes ou nouvelles, qui ont toutes soif d’agir (j’aurais préféré avoir comme réponse la téléportation, autrement plus funky, mais ce n’est pas encore un moyen envisageable pour développer notre don d’ubiquité, puisqu’une récente étude démontre que nous sommes atomiquement bien trop lourds pour ce faire).
Tout cela pour garder en mémoire que nos actions, au delà des enjeux économiques, du développement durable ou de l’effort sportif, doivent tendre vers cet idéal de paix.

Et pour la fin 2012, Miss France et son sourire n’auront qu’à bien se tenir.

Et en attendant, n’oubliez pas, au mépris du danger, de reculer l’impossible…


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Aline DOSDAT
Vice-président Développement
Pour un complément d’information : discours du Président Mondial JCI 2012

De retour à la fac…

C’est dotés d’une motivation sans faille et quelque peu ensommeillés que pas moins de 117 membres, stagiaires et observateurs se sont réveillés, samedi 28 janvier 2012, qui à 06h00, qui encore plus tôt, pour assister aux « Universités de Rentrée givrées Happy Feet » organisées talentueusement par la Jeune Chambre Economique d’Antibes Sophia Antipolis au Centre International de Valbonne.

A l’arrivée, un accueil convivial, des boissons chaudes ainsi que des viennoiseries plus que bienvenues nous attendaient sous une météo malheureusement pluvieuse mais plus qu’adéquate pour une concentration sans faille.


Un accueil parfait et un programme de formations bien chargé et pour tous les besoins :

– pour chacun des postes des membres du bureau ;

– la fameuse formation de découverte de la JCE ;

– la non moins recherchée  « Directeur de commission » afin de devenir un véritable chef  de projet ;

– et la dernière, mais non la moindre, intitulée « Envie de donner envie » pour apprendre « à faire exploser la motivation des équipes ».

Pour ceux qui suivaient les formations des membres du bureau, un jeu de l’oie avait été organisé dans la matinée pour tester leurs connaissances avant qu’ils puissent les approfondir dans l’après-midi. Les étudiants d’un jour de la JCE du Pays Niçois, aidés par leurs joyeux acolytes des autres Jeunes Chambres de la région n’ont pas manqué d’apporter une participation plus qu’active à ce jeu et des réponses des plus pertinentes !  Toujours soucieux de servir au mieux leur association, ils n’ont pas hésité à échanger quelques tactiques d’approche de développement JCE (la séquestration a été envisagée comme une méthode de recrutement), adapter les techniques de communication à notre ère numérique (les téléphones portables ont fait d’excellentes antisèches) et persuader les patients professeurs que la véracité des réponses restait soumise à la relativité (C’était en 1964. Vous avez répondu 1972 ? Bien sûr que votre réponse est validée !).

Et, après une rude journée de profonde réflexion, c’est parés de nos plus beaux et blancs atours argentés, que nous nous sommes perdus, pardon, rendus à l’introuvable, pardon, l’inoubliable Club Med d’Opio pour passer une excellente « soirée banquise », à laquelle ne manquait ni nourriture, ni musique, ni boisson, ni danse endiablée.



Je crois pouvoir parler en notre nom à tous en écrivant que nous avons été marqués par l’excellente organisation menée par la main de chef de la Directrice de la Commission en charge de l’organisation de cette journée, Michèle DO. L’intégralité de son équipe ainsi que son Président, Bruno GUICHARD, se sont montrés d’une disponibilité sans faille et ont su garder le sourire à chaque instant, ce qui peut, parfois, relever de l’impossible. Nous sommes d’ailleurs très heureux de ne pas avoir à regretter le suicide collectif de tous les jaycees en charge de l’organisation de cette journée, qui y ont apparemment très sérieusement songé eu égard, la dernière la semaine, à la croissance exponentielle et imprévue du nombre d’inscriptions de dernière minute. Merci les gars, tenez bon, le chemin n’est plus très long, guère plus qu’une dizaine de mois !


Plus sérieusement, notre Présidente nationale, Laurence DE BOULOIS, qui avait fait le déplacement pour l’occasion, a, dans un discours de sortie passionné, rappelé à quel point elle était touchée par l’intérêt porté par l’assemblée que nous formions à la notion de formation, valeur qui figure dans les premiers principes de la JCE comme contribution nécessaire au développement de soi.

Elle a aussi, et ce sera le mot de la fin, précisé que le développement de notre JCE doit rester l’un des axes majeurs de nos efforts. En ce sens, j’ai une pensée toute particulière pour les observateurs qui ont bravé le froid, l’heure matinale et la pluie pour nous rejoindre : Ivanka NIKOLOVA, Konstantin LICHEV, Marine CESMAT et Nicolas MICHETTI.


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Aline DOSDAT avec l’aimable contribution de Maïe PECHIN

Soirée de passation de la Jeune Chambre Economique du Pays Niçois : une année pleine de changement !

Vous étiez plus de 50  à venir assister aux vœux de la Jeune Chambre Economique du Pays-Niçois et à la prestation de serment de sa Présidente 2012, Cécile Hallier.


Notre hôte, Louis Nègre, Sénateur-Maire de la ville de Cagnes Sur Mer nous a honorés de sa présence et de son soutien à l’Hippodrome de la Côte d’Azur. Surplombant les champs de courses, la dynamique présidente a pu introduire son bureau, composé de jeunes cadres ou de chefs d’entreprise au service de l’intérêt général.


On a pu saluer la présence de nombreux représentants des communes du Pays Niçois : Vence, la Gaude et, bien sûr, la capitale métropolitaine, Nice. La Chambre de Commerce et d’Industrie était également représentée mais aussi Nice Côte d’Azur Initiative, ainsi que l’Unicef. Les autres Jeunes Chambres Economiques nous ont fait le plaisir de nous rejoindre, de Cannes à Nice Côte d’Azur, en passant par Antibes, Sophia Antipolis et même Monaco.


Le bureau constitué pour l’année 2012 comprend 6 nouveaux membres qui se sont vus remettre à cette occasion leur certificat d’adhésion à la Jeune Chambre Internationale. 2012 s’annonce avec un vaste programme, près de 10 commissions touchant tous les domaines : économie, développement durable,  entrepreneuriat, emploi, agriculture, investissement, international.




Déjà 5 nouveaux observateurs ont rejoint la Jeune Chambre Economique du Pays Niçois !

La soirée s’est terminée autour d’un apéritif offert par la Jeune Chambre Economique et d’un repas convivial dans un cadre idéal.


Le mois de février donnera lieu à une nouvelle soirée de convivialité… place au suspense !



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Julien TABORE

Vice-Président Convivialité